Notre directeur musical
Yvan Sabourin
Yvan Sabourin a complété ses études musicales à l’Université de Montréal et a terminé une maîtrise en direction chorale à l’Université de Sherbrooke avec le professeur invité, Nicole Paiement. De plus, en 2009, il a suivi un programme de perfectionnement en France avec le chef Bernard Tétu.
À l’été 2007, il effectuait d’abord une tournée en France avec l’Ensemble vocal Ganymède pour ensuite présenter, comme chef d’atelier, un répertoire composé de pièces du canadien Lionel Daunais aux Choralies Internationales d’À Cœur Joie à Vaison-la-Romaine.
Sous sa direction, l’Ensemble vocal Ganymède s’est mérité la médaille d’or à la compétition du volet choral des Outgames de Montréal de 2006 et, en 2010, a remporté le prix spécial de la diversité au Festival Choral International de Neuchâtel, en Suisse. Au printemps de l’année suivante, toujours sous sa baguette, ce chœur d’hommes a enregistré O vos omnes, sous étiquette ATMA.
Depuis une quinzaine d’années, la pratique du yoga et de la méditation l’amène à transformer sa pédagogie ainsi que son approche de l’enseignement du chant et de la direction chorale.
Il est le Directeur artistique fondateur de trois de ses groupes actuels : Ensemble vocal Anémone (voix féminines), EV Ganymède (voix masculines) et EV Stakato (chœur mixte) et il dirige depuis près de 15 ans l’ensemble vocal de Saint-Laurent.
« Sa façon d’être et de travailler avec nous est apaisante : par exemple, au début des répétitions avant le réchauffement et la minute de silence à la fin, ça nous permet de nous recentrer, nous concentrer sur le moment présent et nous met dans un état réceptif à la beauté et la joie de chanter ensemble…
Elle est inspirante : que ce soit par l’exemple, l’humour, par des images, des paroles ou des gestes, il sait nous faire comprendre avec patience un rythme, un phrasé, une émotion et une intention et ça nous amène à vouloir nous dépasser.
Et elle est exigeant… il exige beaucoup (mais on sent qu’il nous croit capables du meilleur), et c’est toujours dans le respect des choristes, de leurs limites et de leur talent, avec le souci de leur progression et de leur mieux-être vocal et personnel. »
Louise Wilson